{. Contexte

ST-Botsukat high school

En janvier 2012, l’héritière fortunée d’une famille bien nantie déposa sur le bureau d’un architecte prospère, un projet ambitieux. Beaucoup d’autres avant lui avaient refusé, déclarant que ce projet serait celui de toute une vie ou que les autorisations, les coûts de productions et le terrain choisit poseraient mille et un problèmes infranchissables. Mais l’architecte devant lequel l’héritière se tenait en ce moment était un ami de la famille. Il savait bien que peut importe le nombre de problèmes, infranchissables ou pas, la jeune femme ne se laisserait pas piétiner et que son père, William Cassidy, président d’une compagnie internationale connue dans le monde entier ne laisserait personne se mettre sur son chemin. Ce qui rendait se projet d’autant plus attrayant. Une poignée de main et deux ans plus tard, une île artificielle de taille respectable était ajoutée sur toutes les cartes du monde. Loin de devenir un havre touristique, comme tout les revues et journaux à potins en faisait circuler la rumeur, l’île resta dans le secret, un an de plus. Après quoi, en mars 2015, la compagnie publicitaire appartenant à la famille Cassidy présenta une publicité pour une école révolutionnaire. St-Botsukat, l’école en question, était une école dite privée, mais les bourses permettant d’y entrer n’était pas chose rare et les modes de paiements, plutôt flexible. Les formulaires d’admissions inondèrent bientôt la salle de réunion du conseil d’administration de l’école. St-Botsukat offrait un programme diversifié, avancé et malléable. Les élèves avaient une certaine autorité et beaucoup plus de choix que dans les écoles ordinaire. Séparée en quatre dortoirs, l’école faisait aussi office de pensionnat. Une véritable ‘’micro-société’’ écarté du monde des adultes, permettant aux jeunes de se dévelloper et de s’accomplir en dehors des ‘’normes’’. Bienvenue dans la seule école internationale ou les élèves ont le dernier mot...